Or il s’avéra, lorsque je reçus la maquette du numéro 1, que la tendance du journal, qui s’annonçait comme « révolutionnaire », ne me convenait pas. En outre, on n’avait pas respecté la seule condition que j’avais mise à ma participation : ne pas changer la moindre virgule dans mon texte.
J’ai donc démissionné séance tenante.
Dommage, on m’avait attribué un dessinateur chargé d’illustrer ma prose impérissable. Vous le connaissez peut-être, il s’agit de Mykaia. Cherchez sur Internet, il a son propre site. Ne pas travailler avec lui, c’est mon seul regret, car il a du style et il écrit bien.
Je ne donne pas le nom du journal. Pas envie que des fous de Dieu expédient ad patres la rédaction.

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